Les roses anciennes sont issues de mutations, croisements ou hybridations des rosiers botaniques. Des roses désuètes, simples ou sophistiquées mais divinement parfumées.
Roses anciennes, Rosacées
La rose est apparue sur terre il y a environ 35 millions d’années. Originaire de toutes les régions l’hémisphère nord, la rose fait partie de la famille des Rosacées. Les rosiers sauvages portent des tiges généralement munies d’aiguillons ou d’épines. Souvent parfumées, les fleurs simples à cinq pétales s’épanouissent un juin. Elles sont suivies de cynorrhodons, des fruits rouges, oranges ou noirs.
Rosiers botaniques et hybrides
Près de 200 espèces de rosiers botaniques ont été recensées dans le monde. Par mutation spontanées (sports) et croisements naturels ou hybridés par la main de l’homme (cultivars ou variétés horticoles), les rosiers botaniques ont donné naissance à une nombreuse descendance qui est à l’origine de toutes les roses anciennes et modernes cultivées aujourd’hui dans nos jardins.
Chacune des grandes régions du monde, surtout l’Europe, le Moyen-Orient et l’Asie, a apporté aux roses anciennes des caractéristiques particulières. La Rosa gallica a donné naissance à la plupart des hybrides anciens. Les souches européennes comme les Rosa canina, R. rugosa et R. pimpinellifolia ont fourni les qualités de rusticité. D’autres espèces et groupes horticoles ont eu une importance plus ponctuelle comme les Rosa arvensis, R. blanda, R. hugonis, R. banksiae, R. laevigata, R. moyensii ou R. persica.
Rosier pimprenelle, Rosa pimpinellifolia
Rosa pimpinellifolia est spontané dans toute l’Europe. Les premiers cultivars étaient tous des sélections du type sauvage aux fleurs blanches ou roses. Particulièrement résistant, le rosier pimprenelle pousse dans les sols les plus ingrats où il drageonne abondamment. Sa rusticité est imbattable. Les tiges très épineuses portent des petites fleurs simples qui éclosent en nuées dès la fin du mois de mai.
Rosier églantier, Rosa canina
Rosa canina est le plus commun des rosiers sauvages en Europe septentrionale. Cet arbuste rigide et ramifié aux tiges arquées munies d’aiguillons recourbés très piquants pousse spontanément dans les bords des chemins. Les fleurs blanc rosé apparaissent au début de l’été. Elles sont suivies par des fruits très durs et velus, les fameux poils à gratter. L’églantier odorant, Rosa rubiginosa est une forme d’églantier à feuilles aromatiques. ‘Andersonii’ est probablement un hybride de gallica.
Rosier rugueux, Rosa rugosa
Rosa rugosa est un vigoureux rosier botanique aux tiges très épineuses. Il est originaire de l’Asie de l’Est où il pousse sur les dunes de sable. Naturalisée sur les côtes d’Europe, cette espèce a permis d’augmenter la résistance au froid et la résistance aux maladies des roses anciennes. On le reconnaît à ses feuilles gaufrées, coriaces et vert foncé. Les fleurs en coupe rouge carmin à étamines jaunes sont suivies de fruits renflés, rouge orangé très décoratifs.
Rosier fétide, Rosa foetida
Rosa foetida est originaire d’Asie Mineure. Naturalisé en Autriche, il est introduit en Europe en 1583 par Charles de L’Ecluse. C’était à l’époque la seule rose jaune connue, d’où le grand intérêt qu’on lui portait. Ce rosier a joué un rôle clé dans l’histoire des roses et c’est de lui que descendent un grand nombre de rosiers jaunes ou orangé modernes.
Rosa foetida ‘Bicolor’ est une mutation de Rosa foetida. Cet arbuste au port très souple possède des fleurs simples orange vermillon à revers jaune, très lumineux. Ce rosier introduit en Europe avant 1590 figure sur les listes des rosiers que cultivent les Arabes probablement dès le 12e siècle. C’est une belle plante de collection.
Rosier de Banks, Rosa banksiae
Rosa banksiae est né dans les régions montagneuses de Chine et arrivé au 19e siècle en Europe. C’est une liane sans épines qui fleurit très tôt, dès avril, livrant des milliers de petites roses très doubles de couleur jaune beurre. ‘Lutea’ est sans doute le plus vigoureux des rosiers de Banks. Il se comporte idéalement en climat méditerranéen, jusque dans la région parisienne.
Rosier de Nootka, Rosa nutkana
Rosa nutkana est un arbuste aux puissantes racines qui pousse facilement et très vite. Originaire du Nord-Ouest des Etats-Unis jusqu’en Alaska, il est très résistant au froid. Les fleurs simples, roses et assez grandes apparaissent en juin et sont suivies de gros fruits ronds et rouges apprécié par les oiseaux.
Rosier multiflore, Rosa multiflora
Rosa multiflora est originaire d’Extrême-Orient. C’est une liane très vigoureuse à fleurs simples qui est très tolérante aux conditions de culture et devient parfois invasif. A l’origine de nombreuses formes de rosiers grimpants et de rosiers polyantha et paysages, ce rosier est parfaitement acclimaté chez nous.
Rosier musqué, Rosa moschata
Rosa moschata a ses origines au Proche-Orient d’où il a été introduit en Europe avant le 16e siècle. La rose musquée forme des panicules de roses blanches et simples. Elle est remarquable par son parfum musqué et très volatil qui émane des étamines et non des pétales. Cette rose n’est plus en culture de nos jours mais elle est à l’origine de nombreuses roses anciennes et modernes, d’excellents arbustes à la floraison remontante tel le rosier ‘Ballerina’.
Rosier gallique, Rosa gallica
Rosa gallica L. que l’on appelle aussi Rose France fait partie de l’histoire des roses car pratiquement toutes les roses anciennes en sont issues. Faciles à cultiver, les roses galliques sont de petits arbustes au port compact, bien ramifié qui ont tendance à faire des rejets. Les fleurs simples rose ou pourpré sont bien proportionnées, légèrement parfumées. Elles sont regroupées en bouquet sur le bois de deux ans. La floraison unique a lieu au mois de juin.
Rosa gallica ‘officinalis’ que l’on appelle aussi la Rose des apothicaires, Rose de Provins ou Red Rose of Lancaster en anglais, aurait été ramené des croisades en 1240 à Provins. Pendant des siècles, seules les vertus médicinales de la Rose de Provins étaient appréciées. Cette rose aux pétales plus nombreux que l’espèce a donné naissance aux roses Alba et Cent-feuilles.
Rosa ‘Complicata’ est un rosier probablement issu d’un croisement de R. gallica et R. canina. Cet arbuste à longues branches souples se couvre en juin de larges fleurs simples, rose vif, brillantes marquées d’un coeur blanc. La floraison non remontante est suivie de fruits globuleux orangés.
Rosa x francofurtana est appelé Rose de Francfort ou Wallpaper Rose. Connu avant 1770, c’est un hybride de R. gallica et R. majalis, groupe déjà décrit par Clusius en 1583 qu’il appela Rosa sine spinis, rose sans épines. Retrouvé en Allemagne au 18e siècle, ce rosier porte des fleurs plates semi double d’un rose carmin intense avec des parties violettes au mois de juin qui contrastent avec le feuillage clair.
Rosa gallica ‘Versicolor’, appelé ‘Rosa Mundi’ en anglais, est une mutation rayée de la Rose de Provins. Connue depuis 1581, son origine remonte à l’Antiquité. Très décorative, les peintres la représentent dès la fin du XVIe siècle. Cette rose panachée porte des fleurs semi-doubles aux pétales soyeux de couleur rose clair striés de rose pourpre exhalant un parfum de rose ancienne.
Rosa gallica ‘Tuscany’, appelé ‘The Old Velvet Rose’ est connu depuis 1820 mais peut être depuis le 16e siècle. On connaît mieux son sport ou semis ‘Tuscany Superb’ qui produit en abondance en mai juin des fleurs semi-doubles rouge cramoisi aux reflets bordeaux.
Rosa gallica ‘Charles de Mills’ est un des plus anciens rosiers galliques cultivés en France vers 1790. Les fleurs somptueuses très grandes en coupe tournent autour des pourpre et cramoisi sombre avec des nuances lie-de-vin ou violacés. Il ne fleurit qu’une fois, en juin juillet.
Rosa gallica ‘Evêque’ est un rosier ancien mentionné dès 1790 dans le catalogue du sieur François, jardinier du Roi à Paris. C’est un arbuste au port souple qui se couvre fin mai d’une multitude de fleurs très doubles et parfumées de couleur pourpre velouté.
Rosier Alba, Rosa alba
Les roses alba, ou ‘Rose blanche d’York’, figurent avec les Roses de France parmi les roses les plus anciennes. Elles semblent avoir pour parents R. gallica et R. canina. La rose apparaît dans les peintures et tapisseries médiévales. A partir du XVIe siècle, elle est courante dans les ouvrages scientifiques. Sa floraison unique et parfumée n’est pas toujours blanche mais crème ou rose pâle. Le feuillage bleu gris reste jusqu’au début de l’hiver.
Rosa alba ‘Cuisse de Nymphe Emue’ est l’une des roses anciennes les plus célèbres. Elle est issue d’une variation à fleur rose carné un peu plus soutenu que ‘Cuisse de Nymphe’. Connue sous le nom de Rosa alba incarnata, la rose fut baptisée ‘Cuisse de Nymphe Emue’ en 1802 par Dumont de Courset, botaniste et agronome français et a été cultivée par le rosiériste Jean-Pierre Vibert en 1835.
Rose des Peintres, Rosa x centifolia
Le Rosier centifolia est une rose ancienne né d’hybridations successives, les quatre géniteurs étant sans doute R. gallica, R. phoenicea, R. moschata et R. canina. Pourvue d’un grand nombre de pétales, cette rose lourde et globuleuse est représentée dans les natures mortes des grands maîtres hollandais du 17e siècle. Selon le climat, les rosiers Centfeuilles fleurissent entre juin et août.
La Rose de Mai, Rosa x centifolia, est aujourd’hui encore cultivée à Grasse pour l’extraction d’huiles essentielles et concrètes entrant dans l’élaboration des parfums. La fleur possède une odeur riche et sucrée, très tenace. On distingue deux variétés, la rose introduite par Nabonnand en 1895 et la variété double de Lunier.
Le rosier cent-feuilles est un buisson léger aux branches retombantes couvertes de petits aiguillons. La palette des couleurs va du blanc au rouge en passant par le rose. Illustrée en 1789, la ‘Rose de Meaux’ est un rosier centifolia miniature avec de petites fleurs rose clair très double au parfum intense.
Rosier mousseux, Rosa centifolia muscosa
Issues d’une mutation fortuite d’un Rosa centifolia et de roses de Damas, les roses moussues sont connues depuis 1650. Ces roses anciennes se reconnaissent à la formation de minuscules petites glandes qui couvrent les boutons floraux d’une mousse dégageant un parfum puissant de balsamine. De nombreux aiguillons couvrent les tiges. Certaines roses moussues sont remontantes.
Rosier de Damas, Rosa x damascena
Le Moyen-Orient avec les roses de Damas apporte aux roses anciennes un incomparable parfum. Le Rosa x damascena est né d’une hybridation naturelle de R. gallica et R. moschata et plus tard un enfant de ce mariage aura été fécondé par du pollen de Rosa fedtschenkoana. La rose de Damas est arrivée en Europe au 13e siècle grâce aux Croisés. (voir mon reportage sur les Roses de Damas)
Rosa x damascena ‘Trigintipetala’ est la rose de Damas la plus utilisée en parfumerie. Introduite au 17e siècle en Bulgarie par les Turcs de l’Empire Ottoman, cette rose que l’on surnomme ‘Kazanlik’ sert à la production d’huiles essentielles et de concrète de rose. (voir mes reportages sur les cultures de roses de Damas dans la Vallée du Dadès au Maroc et dans les montagnes du Sultanat d’Oman)
Rosa x damascena ‘Quatre Saisons’ est un rosier de Damas très ancien sans doute connu des Grecs dès le 5e siècle avant J.C. C’est probablement le rosier à deux floraisons de Paestum décrit par Virgile. C’est le plus ancien rosier européen à la floraison remontante. Ses fleurs rose clair sont délicatement parfumées.
Rosier de Portland
Les rosiers de Portland sont appelés par les anglo-saxons les Damask Perpetuals car ils offrent une seconde floraison en automne. Elles sont cultivées en Italie depuis le 18e siècle et arrivent en Angleterre grâce à la Duchesse de Portland. Le rosier de Portland est un petit arbuste vigoureux. Les fleurs doubles ou semi-doubles et parfumées sont similaires aux roses de Damas, mais plus petites.
Le rosier de Portland ‘Mme Boll’ est parfois vendu à tort sous le nom de ‘Comte de Chambord’. C’est un rosier obtenu par Boyau en 1843 ou 1859. Les grandes fleurs très doubles et parfumées sont rose clair, légèrement plus sombre au centre de la fleur. Son port est compact et la floraison remonte bien en automne.
Rose de Chine, Rosa chinensis
Cultivé en Chine depuis des millénaires, le Rosa chinensis a donné naissance à des rosiers qui refleurissent pendant toute la belle saison. Ramenées en Europe au 18e siècle par les marchands, missionnaires et navigateurs, les roses faisaient escale au jardin botanique de Calcuta d’où le synonyme Rose du Bengale. Les roses de Chine ne sont par résistantes sous notre climat mais elles ont été croisées avec les roses galliques, Bourbon, Portland et Noisette pour donner des roses anciennes hybrides à la floraison remontante.
Rosa x chinensis ‘Mutabilis’ est connu depuis 1896 mais d’origine inconnue. C’est un des premier hybrides de la rose de Chine. Il fleurit par vagues successives, renouvelant sans s’essouffler ses fleurs légères et multicolores qui ressemblent à des papillons. Elles s’ouvrent en jaune cuivré, virent au rose puis au cramoisi pourpre cuivré avant de faner. Idéal pour le Midi de la France, il demande une protection contre les fortes gelées en climat froid.
Le rosier ‘Gloire des Rosomanes’ a été créé par l’obtenteur lyonnais Jacques Plantier en 1825. Baptisé en l’honneur de tous les amateurs de roses, ce rosier combine le rouge éclatant et la remontance des rosier de Chine avec le parfum délicat des rosiers galliques. C’est le précurseur des Hybrides Remontants qui furent les rosiers de jardin les plus répandus jusqu’à la fin du 19e siècle.
Rosier Noisette
Le rosier musqué entre avec le rosier de Chine ‘Old Blush’ dans la constitution du groupe horticole des rosiers Noisette. Obtenu en Caroline du Sud par Champneys en 1802, le groupe est cultivé par Philippe Noisette puis son frère Louis Noisette qui met en culture en France en 1814 le rosier ‘Blush Noisette’ à petites fleurs en bouquets. Croisés avec des rosiers Thé, les rosiers Noisette ont donné des rosiers à fleurs plus grandes tel le rosier ‘Mme Alfred Carrière’.
Rose Bourbon, Rosa x borboniana
En 1817, sur l’île de Bourbon, aujourd’hui île de la Réunion, a été découvert la Rose Bourbon issue peut être d’une rose de Damas et une rose de Chine. L’arbuste qui est très parfumé fleurit deux fois l’an, en juin juillet puis en septembre. La palette des coloris est très large, allant du blanc au pourpre en passant par le rouge et le rose indien.
La naissance des roses modernes
L’American Rose Society qui fait référence en la matière considère que les roses anciennes sont celles qui ont été créées avant 1867 ou qui appartiennent à une classe existant avec les mêmes caractéristiques. La date clef de 1867 est celle de la naissance du rosier ‘La France’ par un rosiériste français de Lyon, Jean-Baptiste Guillot fils. Ce cultivar est considéré comme le premier hybride de thé au monde ouvrant ainsi la voie aux roses modernes.
Plus d’infos sur les roses anciennes:
- American Rose Society, https://www.rose.org/
- Roses Anciennes de France, http://www.rosesanciennesenfrance.org/fr/index.htm
Pépinières de Roses anciennes:
- Les Roses de Daniel Schmitz, http://lesrosesdedanielschmitz.eklablog.com/
- Lens Roses, https://www.lens-roses.com/fr
- Roses André Eve, https://www.roses-andre-eve.com/
A lire:
- «Histoire des Roses», Roger Phillips et Martyn Rix, La Maison Rustique.
- « Nouvelle encyclopédie des Roses anciennes », François Joyaux, Ulmer
- « Les Roses anciennes », Charlotte Testu, La Maison Rustique
- «Le Grand Livre de la Rose», Georges Delbard, éd. Georges Delbard
- «Roses & Jardins», Marie-Thérèse Haudebourg, Hachette
- «Roses des Jardins de Hex», Nanda d’Ursel, aquarelles d’Edith Dasnoy, Lannoo
Rendez-vous dans la rubrique Végétaux, Arbustes, mes reportages sur les Roses de Damas, les Roses de Lyon, la Création des roses, le rosiériste André Eve, le Roeulx et ses roses nouvelles, les Rosiers grimpants, le Parfum des roses, les roses Meilland, les Roses du Château d’Hex, les roses de David Austin, la Santé des Roses, et dans la rubrique Jardins, France du Sud, mon reportage sur les Roses de la Bonne Maison, ou cliquez sur les liens.
Magnifique et très bien fait, sauf la première rose qui n’a pas de nom malgré le fait qu’elle soit éblouissante !!!
Il faut bien garder un peu de mystère dans la vie… La photo d’ouverture du reportage est la rose gallique ‘Louis-Philippe’.
merci je l’ai et je n’en connaissais pas le nom
Très beau et bien fait ce reportage. MERCI BEAUCOUP, quelle joie de découvrir le nom d’un Rosier que l’on m’a donné, j’ai fait une bouture qui a pris. Grâce à vous je sais qu’il s’appelle Charles de Mills probablement. J’aime connaitre les noms de mes plantes
Bonjour Madame,
Je rêve devant les photos de ces magnifiques roses. Et merci pour vos reportages, bien écrits, pas trop longs, pas compliqués..
Ma question est : quels rosiers planter en façade sur une pergola, longueur 11m, largeur 2m50, exposition incertaine (jardin entouré de murs, pas très hauts, le plus dégagé serai l’axe est/ouest).
J’ai acheté Ghislaine de féligonde, Madame Pereire, Louise Odier, Madame Aflfred Carrière, deux en angle deux devant, beaucoup de soleil à cet emplacement); pour les rosiers plus bas, j’achète toujours de rosiers Delbard et je peux confirmer que le rosier Charteuse de Parme planté actuellement EST_SUD sans vis à vis a une floraison magnifique et est vraiment remontant.
Merci.
Continuez..
Chère Anna, c’est difficile de vous conseiller car il y a tellement de beaux rosiers qui pourraient s’épanouir chez vous. J’ai chez moi contre la façade de ma terrasse côté Sud le rosier Dentelle de Malines de Louis Lens, une liane incroyablement florifère mais très envahissante. J’ai aussi le rosier grimpant Alchymist, un rosier à fleurs très parfumées, qui pousse contre une façade côté Est. Ce sont deux rosiers qui ne fleurissent qu’une fois, au début de l’été.
Bonjour,
Je constate, à la lecture de votre page Web, votre très belle connaissance du sujet. Puis-je vous solliciter ? Voilà : je possède plusieurs rosiers dont deux très anciens semble t-il, que je ne parviens pas à identifier. Accepteriez-vous de m’y aider ? Je vous joint ci-dessous un lien vers un descriptif. Je ne suis pas un professionnel (malgré le PDF proposé) mais juste infographiste de métier). Je possède le rosier ancien « A2 » depuis très longtemps, récupéré près de jardins ouvriers à l’abandon. Il semble être présent dans ma commune (mais en disparition constante hélas) depuis au moins 1900. Merci et excellente journée à vous.
Merci de m’envoyer votre document PDF par email, via ma boite de contact?